Mois: Mai 2020

Petit marché « primeurs »

Publié le

Petit rappel utile : le marchand de primeurs Azalée Bio sera présent à Portejoie samedi 30 mai de 9h à 12h, sur le petit parking à l’intersection des routes de Saint-Pierre et de Saint-Étienne-du-Vauvray.

Il propose des fruits et légumes bio et/ou locaux, ainsi que des plants bio pour votre potager.

Vous pouvez lui passer commande au 06 22 64 93 25.

assorted vegetable lot

La nouvelle équipe municipale de Porte-de-Seine

Publié le Mis à jour le

Samedi 23 mai 2020, le nouveau Conseil Municipal s’est réuni au Manoir de Portejoie, afin de respecter les obligations sanitaires dues à l’épidémie de Covid-19.

Ont été élus :

Maire de Porte-de-Seine : Jean-Philippe BRUN

1er adjoint de Porte-de-Seine : Jean-Claude CORBEL

2e adjoint de Porte-de-Seine : Jean-Claude DUVAL

Maire délégué de Portejoie : Laurent BERGER

Conseillers municipaux :

Philippe LAMBERT

Jean-Charles PICARD

Olivier VOITURIEZ

Gilles CAHN

Éric JORNOD

Sophie PRÉVOST

Anne OBERKAMPF DE DABRUN

Michel KITZIS

Céline SORIN

Christine DESCOMBLE-FOURAGE

Monique KWASNY

 

FotoJet (47)
Commune de Porte-de-Seine : mairie annexe (Tournedos-sur-Seine) et mairie principale (Portejoie)

 

 

 

Petit marché samedi 23 mai

Publié le Mis à jour le

Le marchand de fruits et légumes locaux et/ou bio AZALÉE BIO sera de nouveau présent sur notre petit marché samedi 23 mai, de 9h à 12h, cette fois à Tournedos-sur-Seine.

Le samedi suivant 30 mai, il sera à Portejoie. Attention, changement de lieu : il s’installera sur le petit parking au rond-point à l’intersection des routes de Saint-Etienne et de Saint-Pierre.

Vous pouvez l’appeler pour réserver vos produits au 06 22 64 93 25.

Resized_20200418_090448

8 mai 2020 : pour se souvenir

Publié le Mis à jour le

En raison du confinement, la commune de Porte-de-Seine a célébré le 75e anniversaire de la capitulation allemande en petit comité sans aucune présence du public.

Jean-Philippe BRUN maire de Porte-de-Seine, Monique KWASNY maire déléguée de Portejoie, et leurs adjoints Jean-Claude CORBEL et Laurent BERGER, en présence d’Alain LOEB maire de Saint-Pierre-du-Vauvray, de Jean-Charles PICARD, conseiller municipal, et de M. DAUTRICHE ancien combattant, ont déposé deux gerbes ce matin : l’une au pied du Monument aux Morts de Portejoie, l’autre sous le Monument aux Morts de Tournedos-sur-Seine.

     20200508_115036  20200508_110549

Savez-vous que les deux villages qui forment notre commune ont payé un lourd tribut à l’occupation allemande, et au régime nazi ?

À TOURNEDOS-SUR-SEINE :

  • Deux résistants morts pour la France en déportation (Gérard GRIMPREL à Dora-Mittelbau et Marcelle THIERRY-MIEG à Ravensbrück) ont déjà fait l’objet d’un hommage dimanche 26 avril, journée des Victimes et Héros de la déportation, d’un article sur notre blog et d’une publication sur notre Page Facebook.
  • Mary Louis MENUET né le 26 février 1925 à Baguer-Morvan (Ille-et-Vilaine), matelot mécanicien, a été blessé mortellement par un mitraillage d’avion à Elbeuf sur le remorqueur la Guêpe n°61, le 23 janvier 1943 à 10h30. Il a été déclaré « mort pour la France » par décision ministérielle du 23 août 1948. L’année 1943 a été en effet, hélas, « riche » en raids aériens alliés sur la région de Rouen, surtout dans le secteur de la Seine : ponts, port, installations industrielles et ferroviaires. Il s’agit certainement d’une attaque de l’aviation britannique. Rien que pour le mois de janvier 1943, celui de la mort de Mary Menuet, on ne compte pas moins de quinze bombardements alliés sur Rouen et ses alentours. Les parents de Mary, Joseph Louis Menuet (né en 1904 à Lourmais – Ille-et-Vilaine) et Marie Rose Pinhouet (née en 1905 à Dol-de-Bretagne – Ille-et-Vilaine), étaient au moment de la mort de leur fils cultivateurs à Tournedos-sur-Seine. Un peu plus tôt, on les trouve dans le recensement de 1936 comme gardiens de la propriété du sénateur Maurice Hervey, Les Sablons à Notre-Dame-du-Vaudreuil. Mary avait un frère cadet, Joseph, né en 1927 à Lourmais (Ille-et-Vilaine) et une jeune soeur, Odette née en 1933 à Daubeuf-près-Vatteville (Eure).

MENUET Guêpe n° 25 à Méricourt

Mary Menuet est mort sur la Guêpe n°61, voici la Guêpe n°25, identique

  • Les corps de deux soldats anglais du régiment Gordon Highlanders reposent dans le carré militaire du cimetière. Il s’agit de Thomas TURNBULL (18 février 1922-27 août 1944) et de Herbert GAZZARD (11 septembre 1914 – 27 août 1944). Ils ont été tués d’une balle au crâne alors qu’ils patrouillaient dans un canot aux environs de Port-Pinché, entre Tournedos-sur-Seine et Portejoie. Ils auraient été surpris par des Allemands, dissimulés dans les îles, qui les auraient jetés à la Seine après les avoir tués. Le canot a été trouvé plein de sang, ne contenant plus que leurs armes. Les corps ont été repêchés à Tournedos, où ils ont été déclarés décédés.

        20190403_150557        20190403_150604

  • À droite de leurs deux tombes, se trouve un espace gravillonné, sans monument ni inscription. Y reposent les corps de deux soldats soviétiques, enrôlés dans l’armée allemande, et apportés au maire de Tournedos par les Allemands sur le point de faire retraite, en août 1944. Les deux hommes sont Konstantin KOSLOW, Ukrainien (16 septembre 1912-06 août 1944) et Dimitri Viktor KOVALENKO, Russe décédé dans la propriété de M. COLANERI le 21 août 1944. KOVALENKO était un vétérinaire appartenant au service sanitaire de l’armée allemande, « domicilié à Moscou, présumé y être né, âgé de 27 ans, taille 1m 85, cheveux châtain, yeux marron » d’après l’acte de décès dressé par le maire de Tournedos le 23 août 1944. Les Osttruppen, c’est sous ce terme générique, littéralement « troupes de l’Est », que l’on désignait les Soviétiques qui combattaient aux côtés de l’armée allemande pendant la Seconde Guerre mondiale. C’étaient essentiellement d’anciens prisonniers de guerre soviétiques capturés en 1941 et 1942, surtout versés dans l’intendance allemande, où ils remplissaient toutes sortes de tâches logistiques.

À PORTEJOIE : Le village fut le théâtre d’un épisode sanglant de la Bataille de la Seine, du 9 au 11 juin 1940.

« (…) On glissa le long de l’Andelle pour aller franchir la Seine à Oissel, Pont-de-l’Arche et Andé selon les nouveaux ordres reçus. Cela se fit non sans mal au milieu d’une cohue indescriptible de réfugiés et de militaires de toutes armes et toutes nationalités. Ironie cruelle, des civils nous attendaient avec des fleurs ! Le régiment fut regroupé temporairement dans la forêt de Louviers pour y passer la nuit du 8 au 9 juin. Était-ce le repos promis ? Hélas non, comme toujours ; la Seine étant dégarnie, on dut redescendre pour aider les maigres effectifs en place à boucher leurs trous. Cette fois nous avions compris : il n’y aurait plus que des actions limitées et sans espoir, pour l’honneur ! Sur place le régiment fut amalgamé avec les restes de la First Armoured Division, des éléments de la 237e DI, de la 13e BLM (Brigade légère motorisée), avec appui des canons du 72e Régiment d’artillerie (72e RA), etc. ; tout cela scindé en deux « Groupements ». Le 1er bataillon de Dragons fut chargé d’organiser la défense de Pont-de-l’Arche, dont le passage sur le fleuve avait sauté, et la surveillance des rives jusqu’à Poses. Cette mission fut remplie assez bien jusqu’au 10 au soir (on fit même sauter le pont de chemin de fer des Damps), malheureusement dans la nuit du 10 au 11 les Anglais se retirèrent ayant reçu l’ordre de se regrouper vers Caen. Trop isolé le 1er bataillon dut se replier sur Saint-Pierre-les-Elbeuf après quoi le « Groupement » ayant été dissous, on l’envoya vers Beaumont-le-Roger.

Pour le 2e bataillon chargé de tenir la Seine de Poses à Heudebouville, la mission fut plus périlleuse et plus sanglante. Réparti sur 15 km face à un chapelet d’îles boisées favorables à l’ennemi, il fallait interdire le passage vers le noeud routier de Louviers. Enrichi de quatre sections (dont deux anglaises), appuyé à l’est à Vironvay par les Britanniques, espérant l’arrivée d’un bataillon d’infanterie, on pensait pouvoir verrouiller un certain temps le secteur. C’était un optimisme raisonné mais que les Allemands anéantirent dans la nuit du 9 au 10 ; ayant percé aux Andelys, profitant d’un épais brouillard (naturel, ou lié à l’incendie des dépôts de pétrole de Rouen), l’ennemi eut tôt fait de percer la faiblesse de notre dispositif au centre, là où les feux ne se recoupaient même pas. Si à Pont-de-l’Arche notre défense resta longtemps efficace, à Portejoie ce fut l’écrasement (un escadron y perdit un officier, 3 sous-officiers et 41 dragons) et le recul inévitable sur l’Eure entre Le Vaudreuil et Saint-Étienne-du-Vauvray. Par bonheur une résistance vigoureuse à Saint-Pierre-du-Vauvray permit de couvrir Louviers et d’aider à la consolidation de la défense sur l’Eure avec des éléments disparates recueillis peu à peu au fil des heures. Finalement la mission remplie, le bataillon gagna à son tour la région de Beaumont- le-Roger à l’abri d’un « front » tenu par le 237e RI, la 3e Division légère mécanisée (3e DLM), et la 50e brigade anglaise, dans la nuit du 12 juin.

Cette très dure bataille pour tenir la Seine ayant échoué, cela nous confirma qu’il n’y aurait plus désormais que des coups de boutoir désespérés, menés en ordre dispersé (…) »

Extrait de La campagne de France, unités au combat, le 2e Dragons, André HAMELIN

https://www.cairn.info/revue-guerres-mondiales-et-conflits-contemporains-2001-1-page-151.htm

Certains soldats tués le 10 juin 1944 dans cet affrontement furent enterrés provisoirement à Portejoie dans la cour de la ferme VILCOQ, actuellement propriété de la famille MARTEAU.

En voici le triste inventaire :

  • Jean-Joseph CLAVEL lieutenant au 2e Régiment de Dragons Montés, né le 08 février 1910 à Paris 5e, inhumé provisoirement le 21 juin 1944 par Gaston LEVAVASSEUR et Léon SUANDEAU.

Voici le récit de sa mort par le Général PETIET :  « À Portejoie, le lieutenant Clavel, débordé de toutes parts, a dû évacuer le hameau. Il gagne rapidement Saint-Cyr-du-Vaudreuil et demande au colonel Watteau de mettre des autos-mitrailleuses à sa disposition pour réoccuper son point d’appui. On lui donne le peloton A. M. D. [automitrailleuses de découverte] Quêtant ; il prend place dans la première voiture et repart aussitôt. Quêtant, qui le suit dans la deuxième voiture, lui donne quelques conseils de prudence : la plaine qui précède Portejoie est en effet « déjà farcie d’Allemands ». Mais Clavel veut à tout prix rentrer dans le village. Il tient à reprendre contact avec ce qui peut rester de son détachement et à le ramener, personnel et matériel. Les A. M. D. dispersent assez facilement les groupes ennemis qui bordent la route ; elles repartent sur Portejoie. Mais, à quelque quatre-vingts mètres des lisières, l’ennemi met en action les deux canons de 25 tombés entre ses mains. En quelques coups, la voiture de Clavel est stoppée et prend feu ; tout l’équipage est détruit. La deuxième blindée s’est efforcée, en vain, de dégager la première. Elle continue à mitrailler les fantassins ennemis, s’empare de l’un d’eux et, bien qu’atteinte de plusieurs coups de 25, réussit à regagner nos lignes en ramenant son prisonnier. »

Extrait de La Revue des Deux mondes, juin 1943 : La Bataille de la Seine, 9-10-11 juin 1940, souvenirs personnels, Général PETIET (page 393)

https://www.revuedesdeuxmondes.fr/wp-content/uploads/2016/11/ec4104fef749f51eeb79e28dc2b946c1.pdf

  • Charles BAUGIER, maréchal des logis au 2e Régiment de Dragons Montés, 2e bataillon, 6e escadron, provisoirement inhumé par les Allemands, avec Gaston LEVAVASSEUR et Léon SUANDEAU comme témoins. Charles BAUGIER, en réalité Marie-Charles, né le 23 septembre 1911 à Montmorillon (Vienne) était fils de brasseur et ingénieur-brasseur. Une stèle encore présente à l’emplacement où il est tombé, sur le chemin de halage, sous le pilier gauche du porche de la ferme Marteau, commémore son tragique décès :

thumbnail_20200327_152130

« À la Mémoire de Marie-Charles BAUGIER, Maréchal des Logis au 2e RDP [Régiment de dragons Portés, ou Montés] tué en défendant son poste le 11[sic] 6 1940 inhumé en ce lieu, transféré au cimetière de Portejoie le 9 octobre 1941 »

  • André-Jules MONCHÂTRE, soldat au 2e Régiment de Dragons Montés, né le 15 juillet 1910 à Paris 2e, domicilié à Brest, inhumé provisoirement par Gaston LEVAVASSEUR et Léon SUANDEAU le 21 juin 1944.
  • René Jean Marie AUROUX, soldat au 2e Régiment de Dragons Montés, né le 03 septembre 1912 à Bourges (corps très abîmé, plaque d’immatriculation retrouvée dans l’auto-canon où il se trouvait), inhumé provisoirement par les mêmes le 21 juin 1944.
  • Albert Louis LÉPINE, maréchal des Logis au 3e Régiment d’Automitrailleuses, né le 11 novembre 1917 à Bourguignon (Doubs), domicilié à Besançon, inhumé provisoirement par les mêmes le 21 juin 1944.
  • Pierre Georges LEROY, soldat au 3e Régiment d’Automitrailleuses, né le 1er février 1919 dans les Yvelines, inhumé provisoirement le 21 juin 1940 par les mêmes.
  • Enfin, un « soldat inconnu » provisoirement inhumé par les Allemands. Son casque a été placé sur sa tombe, dans l’enclos de la ferme VILCOQ. On établira plus tard son identité grâce au fragment de livret militaire retrouvé dans son auto-canon (le même véhicule que celui où se trouvait René AUROUX) : il s’agit de Maurice Henri DESCHAMPS, soldat au 14e Régiment de Dragons Portés [i.e. Montés] né le 20 avril 1908 à Noyant (Maine-et-Loire).

Nos deux villages ont donc été durement touchés par la seconde guerre mondiale : Portejoie a été le théâtre et le témoin d’un épisode atroce de la Bataille de la Seine, puis Tournedos et Portejoie furent occupées par l’ennemi – propriétés réquisitionnées, pillées et dégradées -, enfin le recul des Allemands en 1944 fut l’occasion d’atrocités, comme l’assassinat des soldats anglais à Port-Pinché, ainsi que la cause d’une arrivée massive de réfugiés fuyant les bombardements de la région de Rouen, et s’entassant dans les maisons à nouveau réquisitionnées. Un petit garçon est même né à Tournedos, le 17 septembre 1944, d’une maman de 20 ans qui accoucha là, réfugiée chez l’habitant. Il fut prénommé Claude Victor…

N’oublions jamais.

Merci à Mme Vanina GASLY, directrice du Pôle Archives de l’Agglomération Seine-Eure, qui a transcrit le journal manuscrit tenu par un élu, maire délégué de Tournedos-sur-Seine pendant l’occupation. C’est à son travail que nous devons le récit de la mort des deux soldats Anglais, et celui de l’enterrement de l’un des deux soviétiques. Merci à Mme Cathy CÉRÉ (petite-fille de M. et Mme VILCOQ) qui nous a mis sur la piste de Marie-Charles BAUGIER.

Nos archives communales (registres des décès des deux villages) et une recherche sur le site Mémoire des Hommes du ministère de la Défense ainsi qu’une exploration des publications traitant de la Bataille de la Seine nous ont permis de compléter tous les renseignements sur les militaires morts à Portejoie.

Covid-19 : suspension de la collecte textile aux bornes « Le Relais »

Publié le

En raison de l’absence de débouchés actuels et de la capacité limitée de stockage des ateliers de tri, l’association Le Relais ne peut malheureusement pas reprendre son rythme habituel de collecte des bornes textiles pour ce mois de mai.

Afin d’éviter tout débordement sur la voie publique, les bornes textiles vont progressivement être condamnées sur l’ensemble du territoire par du film plastique.

Bien entendu, celles-ci seront vidées une dernière fois avant condamnation.  Une affiche explicative sera disposée sur les bornes pour expliquer la situation aux usagers.

L’association met tout en œuvre pour pouvoir reprendre les tournées classiques début juin. Elle vous demande de reporter vos dons de vêtements pour le moment.

L’Agglo Seine-Eure nous informera dès que possible de la réouverture des bornes textiles.

Pour en savoir plus http://lerelais.org/

41385887_493545484389629_7535706329139118080_n-854x569

Réouverture des déchèteries de l’Agglo Seine-Eure

Publié le Mis à jour le

Les déchèteries de l’Agglo Seine-Eure rouvrent à partir du 11 mai selon les horaires suivants : 

Déchèterie LUNDI MARDI MERCREDI JEUDI VENDREDI SAMEDI
ALIZAY 8h30 – 11h45 fermée 8h30 – 11h45 8h30 – 11h45 8h30 – 11h45 9h00 – 12h00
13h30 – 17h00 13h30 – 17h00 13h30 – 17h00 13h30 – 17h00 13h30 – 17h45
VAL DE REUIL fermée 9h00 – 12h00 9h00 – 11h45 9h00 – 12h00 9h00 – 12h00 9h00 – 12h00
14h00 – 17h45 14h00 – 17h45 14h00 – 17h45 14h00 – 17h45 14h00 – 17h45
PONT DE

L’ARCHE

fermée 9h00 – 12h00 9h00 – 12h00 fermée 9h00 – 12h00 9h00 – 12h00
14h00 – 17h45 14h00 – 17h45 14h00 – 17h45 14h00 – 17h45 14h00 – 17h45
LA HAYE-

MALHERBE

fermée 9h00 – 12h00 9h00 – 12h00 9h00 – 12h00 9h00 – 12h00 9h00 – 12h00
14h00 – 17h45 14h00 – 17h45 14h00 – 17h45 14h00 – 17h45 14h00 – 17h45
VIRONVAY fermée fermée fermée fermée fermée fermée
ré-ouverture après travaux – semaine 24

Ces horaires élargis sont valables les 2 premières semaines, puis seront révisés.

Les modalités d’accès pour le public sont les suivantes:

– Port du masque conseillé
– Carte d’accès tenue par les usagers pour le scan
– Port des gants ou gel hydroalcoolique en entrée de déchèterie
5 véhicules maximum admis sur le site
– Pas d’aide des gardiens, venir à deux si besoin

– Aucun matériel fourni par la déchèterie, venir avec ses propres outils pour décharger

– Les enfants restent dans la voiture (comme d’habitude)
Nombre de visites limité à 2 par semaine
– Aucune familiarité avec le personnel: pas de poignées de main, d’embrassades ou d’accolades
– Sens unique de circulation obligatoire

 

Les premières semaines vont être extrêmement chargées en fréquentation. Le temps d’attente risque d’être très long, c’est pourquoi il est conseillé de reporter le plus possible ses apports en déchèterie. 

Apparition de chenilles processionnaires dans notre commune

Publié le Mis à jour le

Depuis quelque temps, des chenilles processionnaires apparaissent en divers endroits de notre commune, notamment sur le chemin de halage entre Tournedos et Portejoie, ainsi que sur divers chemins dans la plaine, près des carrières.

Ces chenilles possèdent des poils urticants microscopiques qui provoquent des réactions cutanées importantes, boutons, démangeaisons, lésions oculaires et respiratoires, autant chez l’homme que chez nombre d’animaux, en particulier le chien. Les traitements sont courants pour enrayer ces allergies mais doivent impérativement être appliqués rapidement. Le mieux, pour éviter au maximum ces risques, reste de se débarrasser de ces chenilles.

Il n’existe qu’un traitement contre les chenilles processionnaires. Il consiste à traiter directement les arbres et arbustes qu’elles occupent via des pulvérisations de bacilles de Thuringe qui vont les empoisonner. Les pulvérisateurs et produits se trouvent facilement en jardineries.

Nos vous invitons donc à surveiller attentivement vos jardins, à nous signaler les apparitions des chenilles et à démarrer le plus vite possible les traitements.

Pour les espaces publics, chemin de halage, bord des routes et allées, nous prenons contact avec les services de la CASE pour entreprendre les traitements nécessaires

Plus de détails :

Cette larve très velue cache en effet entre ses touffes de poils des zones remplies de micro-poils qui ne mesurent pas plus de 2 mm. Très nombreux, environ 1 million par chenille, ils sont projetés en l’air lorsque la larve se sent menacée. Ils contiennent une substance extrêmement allergène, la thaumétopoéïne, qui va être libérée dans l’épiderme lorsque le micro-poil se brise, c’est à dire au moindre contact ou frottement. La chenille en laisse également un grand nombre dans ses nids, sur le sol lors des processions printanières, dans le sol même lorsqu’elle s’y enterre pour entrer en nymphose. Les animaux ont de nombreuses occasions pour entrer en contact soit avec la chenille soit avec ses poils. L’homme, quant à lui, peut être atteint notamment en retirant les nids, et les enfants sont à prémunir au maximum de ce risque.

https://chenilles-processionnaires.fr/

Merci à Sophie PRÉVOST pour la rédaction de cet article et les photos qui l’illustrent.